L'Emissaire

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Un cavalier parcourt une grande plaine à toute vitesse sur son cheval. Le Meïori espérait profondément de pas faire de rencontre, être seul en terre ennemi était dangereux surtout quand on savait que ces ennemis étaient les Sarkis. Le cavalier était vétue d'une veste et une cape verte représentant le peuple Meïori. Il se rendait dans les montagne pour porter un message de la plus haute importance au roi Eskar.

Le trajet se déroula sans enconbre jusqu'a se qu'il entre en térritoire Meïori. Il réussit en prenant la route principal à arriver à quelques kilomètre de Melar, la capitale de se peuple de la montagne, mais il fut intersepté par un régiment de guerrier munit d'épée, voyant que le cavalier n'était équipé que d'une épée et une armure de cuirs, ils dotaient qu'il vienne attaquer leur peuple. Ils lui demanderent ce qu'il faisait sur leur terre, il leur répondit qu'il avait un message important pour leur roi de la par de son propre roi.

Les soldats menerent l'homme jusque dans la cité où il fut conduit par des gardes jusqu'au palais. Là il fut emmené jusque dans uen salle où il attendit longtemps pendant qu'un valet allé annoncer au roi la présence de l'émissaire du peuple Meïori.

L'émissaire espérait que le roi le ressevrait car il ne voulait pas avoir fait tout ce chemin pour rien et encore moins revenir au près de son roi sans une bonne nouvelle ou bien que le roi décide de le tuer, étant un soldat pour le moment ennemi, ou du moins non allié, ayant pénétrer dans son domaine sans autorisation.

Le jour venait de se lever à Eskar, le soleil s'élevait juste au-dessus d'une montagne, Serdac se réveilla doucement, il prit le temps d'observer paisiblement le paysage de son royaume montagneux. Il s'habilla lentement, mit sa lame dans son fourreau et descendit dans la salle principale de son palais. Les servants partirent chercher de quoi manger à leur roi, et lui apportèrent peu après, ce n'était pas des esclaves, car Serdac n'aimait guère les prisonniers. Il s'assit sur son siège et commença à manger, lorsqu'il eut fini, il partit dans sa cour et appela son compagnon, son compagnon n'était pas n'importe quel animal, cet animal était le plus majestueux et le plus magnifique des griffons. Il lui tapota la tête doucement.

- Cela fait un bon moment que nous sommes pas partis à deux dans les montagnes lointaines au Nord de notre royaume.

Tout comme les autres créatures extraordinaires de Vaska, les griffons parlaient par la pensée à leur seul "maître" même si avec Urio, Serdac ne se considérait pas comme un maître. Alors qu'Urio allait dire quelque chose à Serdac, un garde vint quérir son roi, il s'inclina et dit à Serdac.

- Mon roi, un messager venu des territoires Meïoris est arrivé, il souhaite s'entretenir avec sa majesté.

- Entendu j'arrive tout de suite.

Serdac caressa Urio avant que ce dernier ne repartit dans les airs. Serdac entra à nouveau dans son palais, passa devant nombre de gardes et arriva enfin dans la salle où le messager fut assis à quelques mètres de lui, d'ailleurs ce messager était déjà très poli, car il se leva à l'arrivée de Serdac et s'inclina très bassement. Serdac fit de même en signe de respect envers le messager et dit sur un ton d'une extrême sympathie que tout le peuple Eskar connaissait si bien Serdac.

- Que me voilà ravi de recevoir sur les terres de mon royaume le messager du noble peuple de Meïor ! Je vous en prie rasseyez-vous. Il y a longtemps que les deux peuples Eskar et Meïori étaient dans de bonnes relations, et je suppose que vous êtes venus pour honorer cette entente cordiale ?

Invité

Le messager se leva à l'arriver du roi, il s'inclina pour le saluer, il fut surprit quand il vit le ro en faire autant, à se moment là il aurait voulut ne pas être là, il était incroyablement gêné.

- Que me voilà ravi de recevoir sur les terres de mon royaume le messager du noble peuple de Meïor ! Je vous en prie rasseyez-vous. Il y a longtemps que les deux peuples Eskar et Meïori étaient dans de bonnes relations, et je suppose que vous êtes venus pour honorer cette entente cordiale ?

Le messager sortit de sa tunique verte un parchemin enrouler fermé par le sceau personnel du roi incruster dans de la cire rouge. Quand le roi de Eskar ouvrit le message il put lire:

"Je vous adresse, par se message, toute mes salutations au grand roi Serdac. Je souhainte continuer d'entretenir de bonne relation avec votre peuple, depuis que j'ai succédé à mon père, il y a de celà trois ans, j'ai été énormément occupé, d'une par à cause d'attaques qui ont duré des mois et à cause des demandes administratives de mon royaume. C'est pour celà que vous ne recevez ce message que maintenant.

Sarius Sâhn, Roi des Meïroris"

Après, s'être assuré que le roi avait lut la lettre l'émissaire lui dit:

"Mon roi m'a fait part d'une demande qu'il n'avait pas mit dans la lettre, il vous invite à son mariage avec Dame Kalhan Hanil, le mariage aura lui dans un mois. Il voudrait vous dire qu'il compte également invité les souverains et leur épouse de tout les royaumes du continent, donc il demande que les souverains ne soit escorter que par leur garde personnel pour être certain de ne pas subir d'attaque durant ces noces, bien qu'il sache que votre peuple est un peuple de parole il pense surtout à votre sécurité comme il faut traversser le royaume Serki."

Le messager attendait une répondut du roi qu'il puisse donner à son propre roi.

Serdac écouta attentivement le message et les paroles du messager, elles étaient de bonnes intentions et Serdac n'en attendait pas moins. Il répondit à la fin au messager.

- Je suis très heureux de confirmer cette alliance avec les Meïoris ! Autrefois la reine Eskara avait honoré cette alliance en donnant un objet précieux du royaume d'Eskar en signe de remerciement et pour honorer ce pacte. Aujourd'hui je vais réitérer ceci en vous donnant une flèche en plume de griffon, au bien sûr ceci n'a pas l'air d'un grand trésor, mais pour les Eskarons, ceci est un objet encore plus précieux que l'or ! Cette flèche tirée par un bon arc peut transpercer un ennemi à 200 mètres en ligne droite !

Un servant apporta la flèche en plume de griffon au messager qui la prit. Serdac ajouta ensuite.

- C'est avec joie que je viendrai vous rejoindre à votre capitale pour célébrer le mariage de votre souverain ! En guise de garde personnelle, me permettez-vous de prendre 2 chevaucheurs Griffons ainsi mon voyage en sera que plus rapide et je pourrai franchir en toute sécurité le territoire Sarki. Aussi, je redoute la rencontre du roi Sarki et la mienne, et le roi Aferlo en plus, mais pour votre roi je promets de venir !

Invité

L'émissaire prit l'objet et le rengea avec très grand soin.

"Je suis sûr que mon souverain aprésira profondément votre humble cadeau. Je dois également vous dire que les autres souverains ont été invité aux noces de mon roi. Par contre je pense que vous la sécurité et la confiance des convives, votre escortes où du moins leurs magestieuses créatures ne devront pas s'approcher de mon roi ni des autres souverains, je pense que vous comprendrez, le peuple tient à assuré la sécurité de mon roi et le roi tient à assurer la sécurité de ses invités."

Le message après quelques minutes (après une éventuel réponse), ajouta:

"Maintenant si vous le permétait je voudrais me retirer pour me reposer, je souhaite repartir demain c'est pour celà que je demande à votre majesté si elle m'accorderait le privilèe de pouvoir utiliser uen des chambre du palai jusqu'a demain matin, puis je repartirait demain dès que le soleil auront toucher votre terre."

Serdac écoutait à nouveau, il hochait la tête pour confirmer les paroles du messager, en aucun cas il ne trahirait le roi Meïori et sa garde personnelle restera bien à l'écart du lieu mais ainsi si jamais un roi oserait attaquer le roi Meïori ou lui-même Serdac roi d'Eskar, ses deux gardiens lui viendraient en aide, mais Serdac espérait ne pas en arriver là. Il accorda également au messager sa chambre secondaire, une très belle chambre qui avait une sublime vue sur la plus belle montagne de Vaska, le pic des Merveilles c'était son nom. Serdac s'inclina une nouvelle fois et partit de ce lieu pour aller donner quelques ordres à son armée.

- Nous devons organiser nos défenses mes amis, alors pour ce faire j'aimerai qu'une partie de notre armée soit envoyée à nos deux cités en avant garde de notre territoire, car ce seront d'abord ces deux cités que devront attaquer nos ennemis pour avoir une chance de prendre notre capitale, les chemins principaux passant par ces cités, et je doute qu'ils arrivent à franchir nos montagnes en traversant en dehors des chemins d'accès !

Le capitaine d'Eskar s'inclina pour montrer son accord et envoya des soldats qui partaient dans l'heure pour les deux cités, les temps étaient sombres et mieux valait être prudent.

Invité

L'émissaire après avoir passé une bonne nuit de repos, se prépara à partir, il équipa son cheval prit quelques vivre.

Le voyage fut long, il retraverssa la même plaine qu'il avait déja parcourt en sens inverse. En arrivant dans la forêt, il se dirigea directement vers la capitale où devait l'attendre son roi.

En arrivant au palais, il se présenta à la salle du trône mais le roi n'était pas là, il le chercha mais ne le trouva nul par.

Par miracle il tomba sur Dam Kalhan, il lui annonça la réponse du roi des Eskars, elle en fut contente, elle congédia l'émissaire.

Il pouvait enfin rentrer chez lui et reprendre une vie normal jusqu'a ce que quelqu'n ai besoin de lui.